EGLISE ST PIERRE MARTINET

EGLISE ST PIERRE MARTINET

EGLISE ST PIERRE MARTINET

 DESCRIPTION

L’édifice actuel,de style néo-roman,en forme de croix grecque, à trois nefs, fut construit  entre août 1875 et décembre 1878, un peu en avant de l’ancien sanctuaire. Ses dimensions : 30mètres de long, 18mètres de large au transept et 9 mètres de hauteur intérieure. La chapelle de Notre-Dame deLourdes à gauche du chœur,côté nord, et la chapelle de Saint Joseph à droite, côté sud,complètent l’ensemble. L’église a été consacrée le 20 septembre 1880 par Mgr Catteau.

Les cloches :

Deux cloches se balancent au beffroi, œuvres de la Maison Ernest Bollée, fondeur-accordeur au Mans. La plus petite, et plus ancienne, date de 1854. Elle porte l’effigie de la Vierge et une croix. Elle a pour nom : Victoire-Antoinette-Marie. La plus jeune, 742kg, y bourdonne depuis le 23 août 1872. Elle a pour nom : Arise-Vitalise-Caroline. Ces deux cloches seront réinstallées dans le clocher de la nouvelle église.

Croix celtiques sur l’édifice

 

 

Le tabernacle surmonté du ciborium

Le tabernacle surmonté du ciborium 

 

Le choeur

 

SITE WEB

Source : Paroisse des Achard, Serge Deau (autorisation d’utilisation textes et photos) 

Descriptif et histoire de l’église en pdf  (fournis par la paroisse)

COORDONNÉES

Adresse  : Rue de la Salette, 85150 Martinet

Téléphone :  02 51 34 62 18

 

 HISTOIRE

  Un premier lieu de culte:

Eglise Saint-Pierre-ès-liens C’étaitun édifice de style roman tertiaire du XIIème, composé d’une seule nef,situé à l’emplacement du jardin de l’ancien presbytère. La façade présentait un pignon dépassant la toiture et percé d’ouvertures dans sa partie supérieure, où se balançaient de modestes cloches. Il fut détruit par les Protestants en 1568. Lors de sa restauration au XVIe, y furent ajoutées deux chapelles, une de chaque côté, l’une vouée à la Vierge Marie et l’autre à St Etienne.

Le cimetière entourait l’église comme c’était la coutume. L’Eglise fut incendiée sous la Révolution par les Colonnes Infernales en 1794; les dégâts sont si importants que l’église et le presbytère sont hors d’usage. La paroisse se retrouve alors rattachée à Beaulieu jusqu’en 1845.

L’édifice fut ensuite restauré. En 1852, on y ajoute un clocher à flèche de 34m de haut, flanqué sur sa gauche d’une tour octogonale de 14m portant une coupole. Une cloche y fut installée en 1854 : Victoire-Antoinette-Marie. Puis on rêva de faire du neuf… Un projet se fit jour en 1874…

Le cimetière fut déplacé et sa bénédiction eut lieu en juillet 1875. Une église provisoire fut installée dans le parc des demoiselles Hymènede Fontevaux.

    INFOS PRATIQUES

    Ouvert toute l’année

     TARIF

    Gratuit, en libre accès.

    EGLISE SAINT JEAN-BAPTISTE DE BEAULIEU SOUS LA ROCHE

    EGLISE SAINT JEAN-BAPTISTE DE BEAULIEU SOUS LA ROCHE

    EGLISE SAINT JEAN-BAPTISTE DE BEAULIEU SOUS LA ROCHE

     DESCRIPTION

    La partie haute du clocher a été construite en pierre de de tuffeau. Ses parties les plus ancienne datent du XIIème siècle.

    Le clocher surmonté d’une flèche en ardoise reposait sur les 4 gros piliers de l’Eglise encore visibles aujourd’hui. Il reste quelques figures sculptées dans le granit sur le haut des piliers, au-dessus du maître autel et 3 figures dans la chapelle du St Sacrement, dont voici les explications. Des figures semblables se trouvent dans l’église de St Georges de Pointindoux.

      Les vitraux :

      Restaurés en 2003, ils attirent notre attention par leur beauté et l’histoire qu’ils nous transmettent :

      • Saint Jean-Baptiste
      • Saint Louis
      • Saint Frédérique
      • Saint Pierre
      • Saint Jean
      • Saint François d’Assise
      • Saint Bernard
      • Saint Hilaire de Poitiers

      Petite porte de l’Eglise :

      On peut voir encore aujourd’hui les coups de hache portés lors des inventaires en 1905.

      Renforcée par une plaque de fer, elle témoigne de la violence donnée à cette époque.

      Reliques

      AUTEL MAJEUR : Titulaire : St Jean-Baptiste Reliques de St Clair, martyr, Ste Bénédicte, martyre, St Louis Marie Grignon de Montfort

      AUTEL DU SAINT SACREMENT : Titulaire : St Nicolas Reliques de St Auctus et St Gaudens

      AUTEL DE LA SAINTE VIERGE : Titulaire : Notre Dame du Rosaire Reliques de St Auctus et St Gaudens

      SITE WEB

      Source : Paroisse des Achard, Serge Deau (autorisation d’utilisation textes et photos) 

      Descriptif et histoire de l’église en pdf  (fournis par la paroisse)

      COORDONNÉES

      Adresse  : Pl. de l’Église, 85190 Beaulieu-Sous-la-Roche

      Téléphone : 02 51 98 80 38

       

       HISTOIRE

      Beaulieu doit son nom à la beauté du site ; son nom est mentionné d’après le Pouillé d’Aillery sous la dénomination de Belle-Loco, devenu en français Beau-Loc (1260) et Bialu, terme patois de 1393, encore utilisé de nos jours.

      Une des premières traces de la paroisse que l’on possède est le sceau du chapelain de Beaulieu, trouvé dans la chapelle du Breuil au Bernard par l’Abbé Baudry, en 1863. Ce sceau porte la tête de Saint Jean-Baptiste, d’où Eglise de Saint JeanBaptiste, les symboles de l’équinoxe d’automne, une femme serpent (la Mélusine) ou une femme poisson (la sirène) et une poule.

      En 1628, un château occupait le terrier Saint Jean. Sur l’ordre de Richelieu, ancien évêque de Luçon, il fut démantelé et ses ruines vendues sous la révolution française de 1793. Il subsiste de ce château la Chapelle du Saint Sacrement et une partie du chœur qui date du 13ème siècle. Des injonctions furent faîtes au 16ème siècle et restaurées aux 17ème et 19ème siècles. Vers l’an 1000, un lieu de prière fût construit à proximité du château. Les premiers desservants étaient sans doute des moines bénédictins venant du Haut Poitou.

      Vers 1059, l’église fût donnée en partie aux moines de Talmont et non à ceux de Noirmoutier qui desservaient Aizenay. Le prêtre qui se nomme Roco est à la fois prieur et curé, le prieur ayant la charge d’administrer les biens de l’abbaye et le curé la charge pastorale. En 1363, le prieur est Louis Feignoreau. En 1533, l’évêque de Luçon, Pierre 1er de la Veryie, envoie le diacre Marchand faire la visite des paroisses du diocèse. A Beaulieu, il rencontre 13 prêtres dont un prieur André Imargon, le curé étant Nicolas Grandoin (11 de ces prêtres ne résident pas à Beaulieu).

      Quelques années plus tard, « les Réformés » jettent le trouble dans la province. Des luttes sanglantes résultent de l’affrontement Catholiques-Protestants. Les églises sont occupées comme le déclare un texte de 1564, lequel nous apprend qu’à cette date, 41 curés du diocèse de Luçon sont aux mains des Réformés ; c’est le cas pour Beaulieu.

      De cette époque, une très belle cuve baptismale octogonale en granit, datée dans son pourtour de 1595, fût très longtemps conservée. Cette pièce unique, patrimoine paroissial, déposée depuis des décennies dans le parc de la Guissière, fût volée vers 1990.

       

      En 1853, l’Eglise avait les caractéristiques suivantes : – 30 m de longueur – 5 m de largeur Dans le sanctuaire, la nef mesurait 7 m de long, avec un transept de 20 m. La voute ne faisait que 9,50 m sous le clocher qui se trouvait au milieu du transept, et 8,50 m dans le reste de l’Eglise.

      En mars 1860, les travaux sont lancés. En 1862, la construction d’un nouveau clocher commence, ainsi que la voute du chœur, trop basse et disgracieuse par rapport au reste de l’Eglise. Cela permet l’ouverture du grand vitrail, qui raconte l’histoire de Saint Jean-Baptiste, auquel l’Eglise est dédiée et la visitation avec le Christ, Pasteur, au centre. En 1863, le gros œuvre est terminé.

      Monseigneur Collet, évêque de Luçon et Monseigneur Pie, évêque de Poitiers et futur cardinal, consacrent la nouvelle Eglise le 25 septembre 1864. Mais très vite, humidité et salpêtre apparaissent, les peintures qui ornent les murs et les voutes se décollent, le crépissage tombe. Dès 1947 – 1949, on parle restauration.

      Ce n’est que le lundi 13 septembre 1965 que l’heure d’une nouvelle restauration sonna après le concile Vatican II. L’Eglise retrouve son aspect monacal. Les murs du chœur retrouvent leurs pierres apparentes, les voutes peintes en bleu et ornées d’étoiles dorées deviennent d’un ton unique, comme toutes les autres voutes de l’Eglise. Le maitre autel surmonté de 3 clochers est détruit.

      Il en reste aujourd’hui la cène et les 4 évangélistes qui ornent les murs de la chapelle du Saint Sacrement et le dessous de l’autel.

      INFOS PRATIQUES

      Ouvert toute l’année

       TARIF

      Gratuit, en libre accès.

      EGLISE DE ST JULIEN-DES-LANDES

      EGLISE DE ST JULIEN-DES-LANDES

      EGLISE DE ST JULIEN-DES-LANDES

       DESCRIPTION

      Il s’agit d’une église de style néo-gothique où l’on trouve différents matériaux : du calcaire dur provenant des anciennes carrières de Luçon, mais aussi du tuffeau, une pierre assez friable, du schiste, de la pierre de Charente, de la pierre de Chauvigny etc… Elle est couverte d’une toiture d’ardoises.

      La façade de l’église est symétrique. On remarque le clocher-porche qui abrite la statue de St Julien (il est ici représenté en officier romain).

      Une inscription latine se trouve sur un parchemin tenu dans sa main gauche.

       » Desiderium Habens Dissolvi Et esse cum Christo

      ce qui signifie :

      « J’ai le désir de disparaître et d’être avec le Christ ».

      Cette citation est extraite du verset 23, chapitre I de l’Epître de St Paul aux Philippiens. Dans la main droite, il porte une palme, symbole du martyre. Cette statue fut offerte par M. et Mme de Lauzon dont les blasons surmontés d’une couronne comtale figurent sur le socle. La bénédiction eut lieu le 28 août 1892.

      Après avoir gravi l’escalier de six marches, entrons… Nous apercevons deux petites salles : à droite (côté nord), une réserve, et à gauche (côté sud) : la chapelle des fonts baptismaux. L’édifice est constitué d’une nef centrale et de deux bas-côtés voûtés en briques creuses sur ogives. Le transept, peu saillant, s’achève à l’ouest par un chevet pentagonal.

       

      Dans le chœur, on voit les statues de St Pierre (avec ses clés), St Paul (avec l’épée), St Jean (avec l’aigle), et les différents vitraux dont nous reparlerons plus loin. On remarque également les stalles où prenaient place autrefois les « chantres ».

      De chaque côté du choeur, se trouve un autel plus petit : celui de gauche est consacré à la Vierge Marie et celui de droite à St Roch.

       

      Les vitraux :

      Dans le chœur : 

      Au centre : St Julien de Brioude Julien était originaire de Vienne, sur le Rhône, dans le Dauphiné. Officier de l’armée impériale, converti au christianisme, il quitte l’armée et s’enfuit jusqu’en Auvergne à l’époque de la persécution de Dioclétien (empereur du 20 novembre 284 au 1er mai 305), car on exige du soldat le culte de l’empereur considéré comme un dieu.

      Certaines sources nous disent qu’il aurait été rattrapé près du village de Brioude en Auvergne et que les soldats l’auraient décapité.

      D’autres historiens affirment qu’après avoir vécu caché pendant quelque temps chez son ami St Ferréol, il décide de se dénoncer comme chrétien et de se livrer aux autorités. Condamné à mort, il est décapité près de Brioude en 304. Ses reliques furent découvertes par St Germain d’Auxerre en 431.

      On venait à Brioude sur le tombeau de St Julien dès le IVème siècle, un des sanctuaires les plus anciens d’Auvergne. Son culte fut si grand que près de 90 localités et communes portent son nom en France, comme St Julien-de-Coppel, dans le Puy-de-Dôme qui est jumelé avec St Julien-des-Landes. On peut ajouter que 540 paroisses l’ont également pris comme protecteur. St Julien de Brioude est souvent représenté en costume du Bas-Empire (tenue militaire de l’époque). On le fête le 28 août.

      A droite :

      En haut :

      St Adrien de Nicomédie. Adrien est un officier païen, chef des gardes de l’empereur Maximien (qui régna de 286 à 305) à la cour de Nicomédie en Bithynie (région de la mer de Marmara et de la mer Noire) en Asie Mineure. Très impressionné par le courage des chrétiens persécutés, il se 4 déclare « chrétien » avant même d’être baptisé. Arrêté et emprisonné, il est également soumis à la torture avant d’être exécuté en 303, en même temps que son épouse Nathalie. Ses reliques furent transportées à Rome au IVème siècle et une basilique lui est dédiée. Il est fêté le 8 septembre. Il est le patron des soldats, des gardiens de prison et des professionnels de l’armement. Il est invoqué pour guérir la peste.

      En bas :

      Ste Adèle Née vers 675, elle est la fille du roi d’Austrasie Dagobert II et de la princesse Mathilde ; elle est mariée et mère d’un fils. Lorsqu’elle devient veuve, elle est sollicitée par de nombreux prétendants, mais elle préfère entrer en religion. Elle devient alors disciple de St Boniface et fonde le monastère Palatiole (aujourd’hui Pfalzel) non loin de Trèves en Allemagne, dont elle fut l’abbesse Elle est aussi la grand-mère de St Grégoire d’Utrecht. Elle meurt en 735. Elle est fêtée le 24 décembre.

      A gauche :

      En haut :

      St Eugène de Carthage Evêque de Carthage, il fut chassé par les Vandales ariens et condamné par le roi Hunéric à être ouvrier agricole, puis il fut exilé avec ses compagnons (fidèles et diacres) au désert de Tripoli où ils connurent tous de grandes souffrances. En 487, Eugène put revenir à Carthage, mais les persécutions reprirent huit ans plus tard ; il fut à nouveau exilé, cette fois dans le Languedoc. Il mourut à Albi en 505. Il est fêté le 13 juillet. 

      En bas :

      Ste Nathalie Epouse de St Adrien, elle partage son martyre à Nicomédie avec 23 compagnons, en l’an 303. Elle est fêtée le 26 août. Dans le transept, 

      A droite (côté nord) :

      St Louis, roi de France, et Ste Jeanne d’Arc. 

      A gauche (côté sud) :

      Le cœur immaculé de Marie et le Sacré-Cœur.

      Dans les nefs latérales, 

      A droite (côté nord) :

      Un très beau vitrail commémorant la guerre 14/18, offert par Mme Prudent Tesson à la mémoire de son fils Raymond mort au cours du conflit. (voir annexe)  Dans chaque bas-côté, les médaillons ornant les vitraux sont des évocations des litanies de la Vierge Marie. : Cœur immaculé de Marie Rose mystique Porte du ciel Arche d’alliance Etoile du matin Refuge des pécheurs Reine des martyrs Reine du très saint rosaire Reine de la paix 

      En façade:

      Au-dessus du porche, le vitrail de N.D. de Lourdes commémore le centenaire des Apparitions de la Vierge à Bernadette. Il fut posé en mars 1959.

       

       HISTOIRE

      On ne sait pas exactement de quand date la reconnaissance officielle d’une paroisse à St Julien-des-Landes. Ce que l’on sait, c’est qu’elle tient son nom des moines venus de Brioude, en Auvergne, qui l’appelèrent ainsi en hommage à leur saint patron, un officier romain martyrisé en 304 pour s’être converti au christianisme. Son nom fut d’abord Sanctus Julianus (1058), puis Sancti Juliani (v. 1300), ensuite Sanctus Julianus de Landis (1533), et enfin Saint Jullien-des-Landes au début du XVIIème siècle.

      Un premier lieu de culte fut édifié à St Julien sans que l’on puisse indiquer à quelle époque, à quel endroit exact, ni à quoi il ressemblait. On sait seulement qu’il en est fait mention en 1058, dans le cartulaire de Sainte-Croix de Talmont.

      Puis une autre église fut construite au XIIème siècle. Elle s’élevait sur l’actuelle place Jeanne d’Arc et était probablement entourée du cimetière, comme cela fut longtemps la tradition. A la fin du XIXème siècle, le bâtiment, peut-être insuffisamment réparé après l’incendie de 1794, semble vétuste et trop exigu pour permettre le bon exercice du culte. La décision est prise de construire un nouvel édifice, plus vaste et plus salubre.

      La première pierre de l’église actuelle fut posée le 8 décembre 1885.

      Dans le fond de l’église, deux pierres tombales ont été dressées de manière à s’intégrer aux murs : ce sont celles de Jacques Foucher, écuyer, seigneur de Brandeau, et de son épouse, Claude Durand de Malvoisine, décédée en 1588 ; ils s’étaient mariés en 1550.

      En 1889, le maître-autel qui se trouvait dans l’ancienne église est transféré dans la nouvelle ; on y ajoute le retable et le ciborium. Le chœur sera transformé en 1960 et 1968. La bénédiction de la statue de St Julien qui surplombe le porche d’entrée aura lieu en 1892 ; les vitraux de St Louis et Jeanne d’Arc seront posés en 1896.

      L’année 1897 verra l’achat, la pose et la bénédiction des cloches : Louise-Berthe (747 kg), Charlotte-Lucile (529 kg) et Joséphine-Marie (365 kg). La pose du chemin de croix a eu lieu en 1904. C’est en septembre 1922 qu’on apposa dans l’église le monument de marbre conçu par l’architecte Libaudière, qui rappelle les noms des 44 soldats tués au cours de la Grande Guerre.

      Le 30 octobre 1926, l’église reçoit les reliques de Ste Thérèse de l’Enfant Jésus et le 4 janvier 1927 celles de St Jean-Marie Vianney.

      De juin 1940 à août 1944, une petite garnison utilisa le clocher de l’église comme poste d’observation. Derniers témoins de cette époque difficile, les graffitis et dessins que les soldats gravaient dans la pierre pour tromper leur ennui… Les constructeurs de l’église de St Julien avaient vu grand, sans doute à cause de l’importance de la population et de la générosité des bienfaiteurs. Mais il faut reconnaître que, plantée au cœur du bourg, elle reste imposante et que son éclairage nocturne la met joliment en valeur.

      INFOS PRATIQUES

      Ouvert toute l’année

       TARIF

      Gratuit, en libre accès.

      SITE WEB

      Source : Paroisse des Achard, A. Mornet (autorisation d’utilisation textes et photos) 

      Descriptif et histoire de l’église en pdf  (fournis par la paroisse) 

      COORDONNÉES

      Adresse  :Rue de Verdun, 85150 Saint-Julien-des-Landes

      Téléphone : 02 51 46 62 15

       

      EGLISE SAINT MARTIN DE VERTOU

      EGLISE SAINT MARTIN DE VERTOU

      EGLISE SAINT MARTIN DE VERTOU

       DESCRIPTION

      L’église Saint-Martin-de-Vertou est une église catholique dédiée à saint Martin de Tours, l’un des saints les plus vénérés en France. Elle est située au cœur du village de l’Île d’Olonne.

      L’église présente une architecture typique des églises rurales de la région. Elle est construite en pierre et arbore un style gothique et roman. L’extérieur de l’église est sobre, avec une façade en pierre et un clocher qui s’élève au-dessus de l’édifice.

      À l’intérieur, l’église Saint-Martin-de-Vertou abrite des éléments artistiques et religieux remarquables. On peut y trouver des autels sculptés, des peintures sacrées, des statues et des vitraux. Certains de ces éléments peuvent être d’époque, reflétant ainsi l’histoire et la richesse culturelle de l’église.

      L’église Saint-Martin-de-Vertou joue un rôle central dans la vie religieuse de la communauté de l’Île d’Olonne. Des célébrations religieuses y sont régulièrement organisées, notamment des messes, des mariages et des baptêmes.

      En plus de son importance religieuse, l’église Saint-Martin-de-Vertou peut également être un lieu de visite pour les amateurs d’architecture et d’histoire. Elle offre un cadre paisible propice à la réflexion et à la contemplation.

      Il convient de noter que les informations spécifiques sur l’histoire et les détails architecturaux de l’église Saint-Martin-de-Vertou peuvent être obtenues auprès des autorités locales, du diocèse ou d’autres sources fiables dédiées à la préservation du patrimoine.

       HISTOIRE

      L’église Saint-Martin-de-Vertou, située sur l’Île d’Olonne, en Vendée, possède une histoire riche qui remonte à plusieurs siècles. Voici un aperçu de son histoire :

      La construction de l’église a probablement commencé au XIe siècle, à l’époque romane. Au fil des siècles, des modifications et des ajouts ont été apportés à l’édifice, reflétant différents styles architecturaux.

      Le nom de l’église, « Saint-Martin-de-Vertou », est en l’honneur de saint Martin de Tours, un saint populaire en France, connu pour sa charité et son partage de son manteau avec un mendiant. Saint Martin est souvent représenté à cheval, partageant son manteau avec un pauvre.

      L’église a probablement été agrandie et embellie au cours du XIIIe siècle, adoptant des éléments gothiques. Des voûtes en ogives, des arcs brisés et des fenêtres gothiques peuvent être présents dans la structure.

      Pendant les guerres de Religion au XVIe siècle, l’église a été endommagée. Les conflits entre catholiques et protestants ont entraîné des destructions et des pillages dans de nombreux lieux de culte à travers la France. L’église Saint-Martin-de-Vertou a probablement subi des dommages à cette époque.

      Au fil du temps, l’église a été restaurée et préservée, témoignant de son importance pour la communauté locale. Elle a continué à être un lieu de culte et un point de référence spirituel pour les habitants de l’Île d’Olonne.

      Aujourd’hui, l’église Saint-Martin-de-Vertou reste un lieu de culte actif, où des services religieux sont célébrés régulièrement. Elle représente également un témoignage du patrimoine architectural et religieux de la région, attirant les visiteurs qui s’intéressent à son histoire et à sa signification culturelle.

      INFOS PRATIQUES

      Ouvert toute l’année

       TARIF

      Gratuit, en libre accès.

      EGLISE SAINT MARTIN DE VERTOU
      SITE WEB

      COORDONNÉES

      Adresse  : 1 Rue des Marais, 85340 L’Île-d’Olonne

       

      EGLISE SAINT-PIERRE

      EGLISE SAINT-PIERRE

      EGLISE SAINT-PIERRE

       DESCRIPTION

      L’église Saint-Pierre est une église située dans la commune des Sables-d’Olonne, en France. Elle est dédiée à Saint Pierre, l’un des douze apôtres de Jésus dans la tradition chrétienne.

      L’église Saint-Pierre est un édifice religieux de style gothique. Elle a été construite au XVe siècle et a subi des modifications et des restaurations au fil des siècles. Son architecture présente des caractéristiques typiques du style gothique, avec des voûtes élancées, des arcs-boutants, des vitraux colorés et des détails sculptés.

      L’extérieur de l’église se distingue par sa façade imposante avec un portail central richement orné. On peut y trouver des sculptures représentant des scènes bibliques et des symboles religieux. La tour clocher, qui s’élève au-dessus de l’église, offre une vue panoramique sur la ville et les environs.

      À l’intérieur, l’église Saint-Pierre abrite un riche patrimoine artistique et religieux. On peut y trouver des autels sculptés, des peintures sacrées, des statues et des vitraux qui racontent des histoires bibliques et saints. L’ambiance calme et recueillie de l’intérieur en fait un lieu propice à la prière et à la méditation.

      L’église Saint-Pierre est également le lieu où se déroulent les cérémonies religieuses importantes de la paroisse des Sables-d’Olonne. Des messes, des mariages, des baptêmes et d’autres célébrations y sont régulièrement organisés.

      En résumé, l’église Saint-Pierre est un édifice religieux gothique situé aux Sables-d’Olonne, dédié à Saint Pierre. Avec son architecture gothique remarquable, ses sculptures, ses vitraux et son atmosphère spirituelle, elle constitue un lieu de culte et un témoignage important de l’histoire religieuse de la région.

       HISTOIRE

      L’histoire de l’église Saint-Pierre remonte au XVe siècle. Sa construction a débuté à cette époque pour répondre aux besoins spirituels de la communauté catholique des Sables-d’Olonne.

      Au fil des siècles, l’église a été agrandie, rénovée et restaurée à plusieurs reprises. Des éléments architecturaux gothiques ont été ajoutés, notamment des voûtes élancées, des arcs-boutants et des fenêtres à lancettes, caractéristiques de ce style.

      Pendant la Révolution française, l’église Saint-Pierre a été sévèrement endommagée et transformée en entrepôt. Après la révolution, elle a été rendue au culte catholique et a fait l’objet de travaux de reconstruction et de restauration pour lui redonner son aspect d’origine.

      Au cours des années, l’église Saint-Pierre a joué un rôle central dans la vie religieuse de la commune. Elle a accueilli des cérémonies religieuses, des mariages, des baptêmes et des enterrements, ainsi que des festivités et des processions.

      L’église Saint-Pierre a également été témoin de l’histoire locale et des événements importants. Elle a survécu aux intempéries, aux incendies et aux ravages du temps, témoignant ainsi de la résilience de la communauté et de son attachement à la foi catholique.

      Aujourd’hui, l’église Saint-Pierre est un monument historique et un lieu de culte actif. Elle est un symbole de l’histoire religieuse et architecturale des Sables-d’Olonne, attirant les visiteurs qui souhaitent admirer son architecture gothique et ressentir son atmosphère spirituelle.

      INFOS PRATIQUES

      Ouvert toute l’année

       TARIF

      Gratuit, en libre accès.

      19 Rue des Deux Phares, 85100 Les Sables-d'Olonne
      SITE WEB

      COORDONNÉES

      Adresse  : 19 Rue des Deux Phares, 85100 Les Sables-d’Olonne

       

      EGLISE NOTRE DAME DE BON PORT

      EGLISE NOTRE DAME DE BON PORT

      EGLISE NOTRE DAME DE BON PORT

       DESCRIPTION

      Notre-Dame-de-la-Noue Port est une église située dans la commune des Sables-d’Olonne, en France. Cette église est dédiée à Notre-Dame de la Noue, qui est la sainte patronne des marins.

      L’église de Notre-Dame-de-la-Noue Port est un lieu de culte historique et religieux important dans la région des Sables-d’Olonne. Elle est connue pour son architecture caractéristique et son emplacement proche du port, ce qui en fait un repère visuel pour les marins et les visiteurs.

      L’église a été construite au XIVe siècle et a subi plusieurs rénovations et modifications au fil des siècles. Son architecture mélange différents styles, notamment le gothique et le roman, ce qui lui confère un charme unique. Elle possède une façade imposante avec un portail richement sculpté, des vitraux colorés et une tour clocher qui domine le paysage.

      À l’intérieur de l’église, vous pouvez trouver un décor religieux riche, avec des statues, des autels et des peintures sacrées. L’atmosphère paisible et solennelle de l’église en fait un lieu propice à la prière et à la contemplation.

      Notre-Dame-de-la-Noue Port est également le point de départ de la procession annuelle de la Sainte-Marie-du-Port, où la statue de Notre-Dame de la Noue est portée en procession jusqu’au port des Sables-d’Olonne, accompagnée par les fidèles et les marins locaux.

       HISTOIRE

      L’histoire de Notre-Dame-de-la-Noue Port remonte au XIVe siècle. L’église a été construite pour répondre aux besoins spirituels des marins et des habitants des Sables-d’Olonne, une ville côtière située dans la région de la Vendée, en France.

      L’origine du nom « Notre-Dame de la Noue » remonte à une légende locale. On raconte qu’au XIIIe siècle, un bateau en difficulté était sur le point de sombrer lors d’une tempête au large des Sables-d’Olonne. Les marins ont invoqué la Vierge Marie pour leur venir en aide, et miraculeusement, le bateau a réussi à atteindre un banc de sable appelé « la Noue ». Depuis lors, les marins locaux ont voué une dévotion particulière à Notre-Dame de la Noue, et l’église a été construite en son honneur.

      Au fil des siècles, l’église de Notre-Dame-de-la-Noue Port a été agrandie, modifiée et restaurée à plusieurs reprises. Des éléments architecturaux gothiques et romans ont été intégrés à sa structure, donnant à l’église un caractère unique.

      Pendant la Révolution française, l’église a subi des dommages importants et a été transformée en temple de la Raison. Après la révolution, l’église a été rendue au culte catholique et a été restaurée.

      Notre-Dame-de-la-Noue Port est également associée à une tradition maritime importante. Chaque année, la procession de la Sainte-Marie-du-Port part de cette église. La statue de Notre-Dame de la Noue est portée en procession jusqu’au port des Sables-d’Olonne, accompagnée par les marins locaux et les fidèles, pour commémorer la protection accordée aux marins et pêcheurs.

      Aujourd’hui, Notre-Dame-de-la-Noue Port est un lieu de culte actif et un symbole important de l’histoire religieuse et maritime des Sables-d’Olonne. Les visiteurs peuvent admirer son architecture, découvrir son histoire et participer aux célébrations religieuses qui s’y déroulent.

      INFOS PRATIQUES

      Ouvert toute l’année

       TARIF

      Gratuit, en libre accès.

      EGLISE NOTRE DAME DE BON PORT
      SITE WEB

      COORDONNÉES

      Adresse  : Pl. de l’Église, 85100 Les Sables-d’Olonne